Les preuves de la mitose (suite 13)

- Sceptique : revenons aux preuves que la mitose aurait laissées !

- On a vu le ratio (issu de la moyenne aléatoire) des dipôles synchronisés : longueur / épaisseur = ξ4. qui est le ratio objectif entre la force coulombienne et la force gravitationnelle. Ce ratio a été créé sur la circonférence du BEC contenant ξ4 dipôles avant annihilation ! Mais on a vu que le nombre de couches (radiales) est fixé à ξ3. Il y a là un problème flagrant de non isotropie ! On sait qu'un BEC ne saurait le supporter !

- Sceptique : oui mais ce ratio comporte aussi la constante α = 137,035999 .... ?

- Oui le ratio entre forces : coulombienne / gravitationnelle, entre une paire électron-positron, est précisément de : ξ4 / α en 1D ! Cela veut dire que la constante de gravitation est apparue après l'annihilation de facteur α. De plus ξ8 / α² en 2D, vérifie la masse de l'univers en unité électron ! On se souvient que α signe l'annihilation en agrandissant l'intervalle élémentaire.

- Sceptique : y-a-t-il d'autres recoupements avec les mesures ?

- Oui par exemple, cela recoupe la masse généralement estimée de l'univers, soit : 1082 unités et donc 1052 kg.

- Sceptique : et pourquoi diviser par α² ?

- C'est l'annihilation en 2D ! La force électrique qui lie deux pôles « séparés en opposition sur le BEC » passe par ce nombre d'intervalles 1D ! De ce fait la gravitation est la force électrique divisée par le nombre d'unités présentes sur la périphérie du BEC.

- Sceptique : mais l'intervalle élémentaire était alors ξ fois plus petit que Compton, soit l'épaisseur originelle des oscillateurs dipolaires !

- Exact ! C'est là qu'intervient la mitose ! Rappelons-nous, l'isotropie est exigée par le BEC pour son bon équilibre ! Il n'a qu'une solution pour ramener l'intervalle tangentiel à l'intervalle radial. Se diviser pour diminuer sa densité surfacique. D'où la mitose en ξ2 BEC-fils pour augmenter chaque surface élémentaire, jusqu'à atteindre l'aire de Compton. Ainsi l'intervalle 1D sera augmenté de ξ.

- Sceptique : ce nombre de ξ2 BEC-fils devrait se vérifier en nombre d'étoiles originelles depuis le BIG BANG ?

- Oui on vérifie en effet que ce nombre 1022, correspond au nombre estimé d'étoiles dans l'univers !

- Sceptique : mais pourquoi le BEC attend-il sa saturation pour rétablir son équilibre (isotropie des intervalles)  ?

- Le déclencheur est l'annihilation de ratio α = 137,035999 en 1D ou α² en 2D.

- Sceptique : mais le taux de mitose est gouverné par ξ² et non par par α² !
- Oui ces deux ratios sont forcés de converger grâce à une variable d'ajustement qui n'est autre que le nombre brut de paires électron-positrons dans le proton.

- Sceptique : mais le modèle standard dit que le mélange des électron-positrons est impossible ! déjà ce sont des leptons (fermions) et non des bosons et de plus ces particules s'annihilent quand on les met en contact !

- On a vu (en 12) que la dichotomie (locale) entre boson et fermion n'a plus lieu d'être dans le cadre de la création non locale ! La loi de FERMI, relative à la seule expérience locale doit être revue à l'aune de la localité.

- Sceptique : d'accord on vu cela avec BRICMONT mais pourquoi la localité changerait-elle quelque chose au classement standard et la différentiation entre fermion et bosons ?

- Il suffit de relire plus avant : la « séparation » en fait « délocalisation » des pôles du même dipôle fait que les pôles (+ ou –) ne peuvent pas s'annihiler localement ! La validité de la loi de FERMI est purement locale ! Si on créé localement une paire électron-positron, elle est instable ! Il y a là un manque de rigueur de ne pas prendre en compte le critère de localité ! Fabriquer une paire proton/antiproton localement, le condamne à être instable ou éphémère. C'est bien ce que nous constatons !

- Sceptique : alors selon OSCAR, les protons sont fait de paires électron-positrons mais de création non locales ? Et les preuves ?

- La première preuve est la mesure du rayon du proton qui vaut 4 fois le Compton de l'électron divisé par la masse du proton. On a vu cela en (12). La seconde est la démonstration qui montre que les quarks sont induits et non constitutifs. Et cela est vérifié sur beaucoup de particules. La troisième es justement que le nombre brut des électron-positrons est la variable d'ajustement qui relie exactement les 5 étapes fractales liées au déclencheur et le taux de mitose lié au ratio ξ² des surfaces élémentaires. La quatrième, indique que le nombre de BEC-étoiles est en cohérence avec celui généralement estimé. Et il y en a d'autres à voir dans ces deux tableaux 44-1 et 44-2.



à suivre 14

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