-
Sceptique : revenons aux preuves que la mitose aurait laissées !
-
On a vu le ratio (issu
de la moyenne aléatoire) des
dipôles synchronisés : longueur / épaisseur
= ξ4.
qui est le ratio objectif
entre la force coulombienne et la force gravitationnelle. Ce ratio a
été créé sur la circonférence du
BEC contenant
ξ4
dipôles avant
annihilation ! Mais
on a vu que le
nombre de couches (radiales) est fixé
à ξ3.
Il y a là un problème flagrant de non isotropie ! On
sait qu'un BEC
ne saurait le supporter !
-
Sceptique : oui
mais ce ratio comporte aussi la constante
α =
137,035999 .... ?
-
Oui le ratio entre forces :
coulombienne / gravitationnelle, entre une paire électron-positron,
est précisément de : ξ4
/
α en
1D ! Cela veut dire
que la constante de gravitation est apparue après l'annihilation de
facteur α.
De plus ξ8
/
α² en
2D, vérifie la
masse de l'univers en unité électron !
On se souvient que α
signe
l'annihilation en
agrandissant
l'intervalle élémentaire.
-
Sceptique : y-a-t-il
d'autres recoupements avec les mesures ?
-
Oui par exemple, cela
recoupe la masse
généralement estimée de l'univers, soit : 1082
unités et donc 1052
kg.
-
Sceptique : et pourquoi diviser
par α²
?
-
C'est l'annihilation en
2D ! La force électrique
qui lie deux pôles « séparés en opposition sur le BEC »
passe par ce nombre
d'intervalles 1D !
De
ce fait la gravitation est la force électrique divisée par le
nombre d'unités présentes sur la périphérie du BEC.
-
Sceptique :
mais l'intervalle élémentaire était alors ξ
fois plus petit que
Compton, soit l'épaisseur
originelle des oscillateurs dipolaires !
-
Exact ! C'est là
qu'intervient la mitose !
Rappelons-nous, l'isotropie est exigée par le BEC pour son bon
équilibre ! Il n'a qu'une solution pour ramener l'intervalle
tangentiel à l'intervalle radial. Se
diviser pour diminuer sa
densité surfacique. D'où la mitose en ξ2
BEC-fils pour
augmenter chaque surface
élémentaire, jusqu'à atteindre l'aire
de Compton. Ainsi
l'intervalle 1D sera
augmenté de ξ.
-
Sceptique : ce
nombre de ξ2
BEC-fils
devrait se vérifier en
nombre d'étoiles originelles depuis le
BIG BANG ?
-
Oui on
vérifie en effet que ce nombre 1022,
correspond au nombre estimé
d'étoiles dans
l'univers !
-
Sceptique : mais pourquoi le BEC attend-il sa saturation pour
rétablir son équilibre (isotropie des intervalles) ?
-
Le déclencheur est l'annihilation de ratio α
= 137,035999 en 1D ou α²
en 2D.
-
Sceptique : mais le taux de mitose est gouverné par ξ² et
non par par α²
!
-
Oui
ces deux ratios sont
forcés de converger grâce à une variable
d'ajustement qui
n'est
autre que le nombre brut
de paires
électron-positrons dans le
proton.
-
Sceptique : mais
le modèle standard dit que le mélange des électron-positrons est
impossible ! déjà ce sont des leptons (fermions) et non des
bosons et de plus ces particules s'annihilent quand on les met en
contact !
-
On a vu (en 12) que la dichotomie (locale) entre boson et fermion n'a
plus lieu d'être dans le cadre de la création non locale ! La
loi de FERMI, relative à la seule expérience
locale doit être revue à l'aune de la localité.
-
Sceptique : d'accord on vu cela avec BRICMONT mais pourquoi la
localité changerait-elle quelque chose au classement standard et la
différentiation entre fermion et bosons ?
-
Il suffit de relire plus
avant : la « séparation » en fait
« délocalisation » des pôles du même dipôle fait que
les pôles (+ ou –) ne peuvent pas s'annihiler localement !
La validité de la loi de
FERMI est
purement locale ! Si on créé localement une paire
électron-positron, elle
est instable ! Il y
a là un manque de rigueur de ne pas prendre en compte le critère de
localité ! Fabriquer
une paire
proton/antiproton
localement, le condamne à être instable ou éphémère. C'est bien
ce que nous constatons !
-
Sceptique : alors
selon OSCAR, les protons sont fait de paires électron-positrons mais
de création non locales ? Et les preuves ?
-
La première preuve est
la mesure du rayon du proton qui vaut 4 fois le Compton de
l'électron divisé par la
masse du proton. On a vu
cela en (12). La seconde
est la démonstration qui montre que les quarks sont induits et non
constitutifs. Et cela est
vérifié sur beaucoup de particules. La
troisième es justement
que le nombre brut des électron-positrons est la variable
d'ajustement qui relie exactement les 5 étapes fractales liées au
déclencheur et le taux de mitose lié au ratio ξ² des
surfaces élémentaires. La quatrième, indique que le nombre de
BEC-étoiles est en cohérence avec celui généralement estimé. Et
il y en a d'autres à voir
dans ces deux tableaux
44-1 et 44-2.
à suivre 14
0 Comments